Samedi dernier, c'était le retour à Porto Rafti après un mois à Toulouse. Plus de vols directs maintenant jusqu'au printemps. Les vols qui existaient pour Noël ont été supprimés pour 2020. Cela va faire long. Il restera sans doute la possibilité de passer par Paris si nos pays ne sont pas reconfinés d'ici là. Aux incertitudes de la vie se rajoutent celles créées par l'épidémie...
Le vol s'est très bien passé. Un temps excellent qui nous a permis d'admirer la terre sous nos...ailes. Ici le Cap Corse et Bastia.
La compagnie aérienne nous avait fait remplir deux jours avant notre départ de Toulouse un questionnaire et nous a envoyé un QR Code le jour du départ. C'est ainsi depuis juillet de la France vers la Grèce.
Image internet
A l'arrivée à Athènes, tout le monde présente le fameux code et, d'un seul coup d'oeil, les contrôleurs vous envoient ou non vers les petites cellules prévues pour les tests.
Nous n'avons pas été retenus mais ce "tri" m'a mise mal à l'aise. La raison ? L'ignorance des critères selon lesquels chacun était ou non sélectionné pour être testé. Ce n'était pas aléatoire puisque nous avions rempli un questionnaire.
La situation en Grèce est la même qu'en France quant aux mesures sanitaires. Sinon que le couvre-feu est de 00h30 à 5h. Si, si, ce sont les heures où les jeunes ici font la fête. Enfin, je veux bien le croire!!
Même si le masque est obligatoire en extérieur et que la mesure est aussi théoriquement valable sur les plages, nous nous en sommes "exonérés" en début de semaine où il faisait très beau et où nous avons pu retrouver notre plage et nous baigner.
Nous n'étions pas seuls sur la plage mais tous à bonne distance.