Les prochains week-ends seront dédiés à de la famille venue de France, pour laquelle nous jouerons les guides de la façon dont elle le souhaitera. Pour prendre un peu d'avance, nous sommes partis en reconnaissance deux petits jours, en début de semaine.
Destination Gerolimenas, au bout du doigt central du Péloponnèse, dans la région du Magne.
Jusqu'à Areopoli (et non Aeropoli comme mentionné sur la carte, puisque le nom de la ville vient du dieu Arès), le paysage est méditerranéen et plutôt verdoyant.
Puis tout change et commence le "vrai" Magne, celui de la montagne nue et des maisons-tours en pierre.
C'est la géologie qui explique le changement du paysage et son aridité au sud de la péninsule du Magne. Le sous-sol y est en effet constitué de marbre gris-blanc peu propice aux cultures.
Nous avons passé l'après-midi et la nuit dans le tout petit village de Gerolimenas. Il est vraiment situé au bout du monde mais les touristes en trouvent le chemin, l'été tout particulièrement .
Voici une vue de presque tout le village qui encercle sa plage de gros galets.
Nous logions à la pointe extrême du village dans une bâtisse du XIXe siècle qui servait autrefois d'entrepôt pour l'exportation de vin et d'huile du Péloponnèse vers l'Europe. Les descendants de la famille ont restauré la bâtisse idéalement située les pieds dans l'eau pour en faire un hôtel.
C'est la géologie qui explique le changement du paysage et son aridité au sud de la péninsule du Magne. Le sous-sol y est en effet constitué de marbre gris-blanc peu propice aux cultures.
Nous avons passé l'après-midi et la nuit dans le tout petit village de Gerolimenas. Il est vraiment situé au bout du monde mais les touristes en trouvent le chemin, l'été tout particulièrement .
Voici une vue de presque tout le village qui encercle sa plage de gros galets.
Les chambres (du moins la nôtre!) ne sont pas très grandes mais sont très agréables avec leur mélange de pierre et de bois.