samedi 25 mai 2013

Onopordum acanthium - Photo de la semaine 57


J'ai eu la chance de passer une semaine ensoleillée à Athènes et dans l'île de Kéa et je mesure encore davantage cette chance quand je n'entends parler que de pluie sur toute la France. Tant pis je reviens quand même demain... avec des souvenirs de cerises, d'abricots, d'enfants jouant sur la plage, de glaces dégustées sous un parasol!

Mais aussi en mémoire une sécheresse qui commence à s'installer à Kéa. Si les chênes et les amandiers ont encore des feuilles bien vertes qui sentent le "neuf", les bords de routes ont dit adieu aux coquelicots et autres fleurs printanières. Les ont remplacés les lauriers roses, les genêts et le chardon aux ânes. 

Voici "la friandise" qui sera ma photo de la semaine pour Amartia et ses aminautes fidèles. 





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Les ânes ne sont d'ailleurs pas les seuls à se régaler de ce cousin de notre artichaut...






Bon appétit à tous!




samedi 18 mai 2013

Le temps des cerises . Photo de la semaine 56


Ce n'est pas la photo de la semaine, c'est la photo ...du jour!

Hier fut une journée bien remplie avec bureau jusqu'à 16h30 et grosse frayeur sur le chemin de l'aéroport car un accident (sans gravité) avait créé un immense embouteillage. Juste le temps de prendre l'avion pour...Rome, puis le Rome-Athènes. Les deux avions bondés (où est la crise?) mais une boisson et deux biscuits en sachet de la part d'Alitalia lors de chacun des vols...internationaux ! Et oui c'est bien la crise!

Tout cela valait la peine car ce matin c'était le bonheur de goûter à un printemps qui avait déjà toutes les couleurs de l'été. La preuve avec ma photo de la semaine pour Amartia qui doit avoir les mêmes à Nauplie et peut-être moins chères encore! Mais ici nous payons le prix de la Capitale, très modeste toutefois, 3€ le kilo!




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mardi 14 mai 2013

Mon chemin quotidien


Quand il fait beau, je pars souvent au bureau en bus. Ce matin j'ai pris mon APN et fais quelques photos en chemin. Bien sûr leur qualité s'en ressent mais dans quelques mois ce sera un souvenir de mon passé d'"active"!

Départ à huit heures, l'arrêt de bus est juste devant ma porte.







Première station, peu de monde à l'arrêt du bus car la station de métro est juste à côté. Une étudiante bouquine, cigarette à la main et écouteurs sur les oreilles. 


Nous sommes sur la rive gauche de Toulouse. Les ronds-points ne sont plus plantées comme autrefois de petites pensées bien alignées  mais de prairies fleuries.


Passage par la place de la Patte d'Oie la bien nommée car cinq rues y aboutissent...


... et l'on arrive vite à la place Saint-Cyprien où se trouvait autrefois l'octroi de Toulouse.
Face à face, la Maison de la Citoyenneté qui au siècle dernier servait de bains-douches publics et qui a gardé sa petite mosaïque d'origine et le marché Saint-Cyprien, le dernier marché toulousain couvert ayant conservé sa structure de style Baltard.



Le marché était en train de s'installer. Je ne suis pas sure qu'il soit très bon pour les salades ou les radis d'être ainsi frôlés par les voitures ou les bus...





Direction la Garonne et passage près du chantier du tramway.


Ouf! un peu de verdure, celle du cours Dillon qui longe la Garonne... 



... à laquelle on arrive en passant devant l'ancien Château d'Eau devenu une galerie photographique.


Voici enfin le fleuve dont l'eau est assez haute même si la neige pyrénéenne n'a pas encore fondu. Gare à la crue sur la Prairie des Filtres!


Nous traversons la Garonne par le Pont Neuf. Au loin le pont Saint-Michel d'un côté...


...et le pont des Catalans de l'autre.


A la sortie du pont, un restaurant photographié spécialement pour Mireille.


Un peu plus loin la place Esquirol et son fameux Père Léon récemment rénové.


Encore un arrêt et je suis arrivée rue de Metz, le terminus de mon trajet.

Désormais ce sont les belles boutiques de luxe ou les boutiques plus design.



Pas de tentation car tous les magasins sont encore fermés à cette heure là. Seule ma superette près de la fontaine Boulbonne  était déjà ouverte Quelques achats pour grignoter à midi. Un instant de nostalgie. Les mêmes douceurs que lorsque j'étais collégienne. Mais j'ai résisté!




Je ne peux m'empêcher d'admirer cette belle porte. Qui habite là?  Poséïdon?


Comme chaque matin je passe par la rue Renée Aspe, une artiste peintre toulousaine  et lui adresse un petit bonjour. La pauvre, condamnée à regarder l'immeuble de nos bureaux.



Mon bureau est au dernier étage et chaque jour il y a le "supplice" de l'ascenseur pour la claustrophobe que je suis. Heureusement une collègue sympa est toujours prête à m'accompagner pour que  la montée passe plus vite.


Nous sommes arrivés et la vue depuis mon bureau reste la récompense chaque jour renouvelée.



Cela n'était que le trajet... Au travail maintenant!




jeudi 9 mai 2013

Douceur aux pommes





Deuxième jour du viaduc de l'Ascension et pas de regret de n'avoir pas de programme pour une activité extérieure car le terme de "maussade" est bienveillant pour qualifier le temps toulousain.

Je potasse donc mes magazines, joue avec ma tablette (clin d'oeil à Danielle qui se débat aussi avec la sienne!), bouquine tranquillement et me confectionne des douceurs légères car dans deux mois arrivera l'épreuve du maillot...

Je n'ai finalement pas réalisé une recette prise dans le magazine acheté pourtant pour cela mais une recette trouvée chez Not'e Louise.




J'ai modifié les proportions de la recette initiale car mon moule à manquer est assez grand, 24 cm.  J'ai ajouté un tiers aux ingrédients et j'aurais même pu les doubler, en particulier pour les pommes.

Pour réaliser ce gâteau j'ai utilisé:
- 150g de sucre
- 200g de farine
- 3 oeufs
- 120g de fromage blanc à 20% de mg
- 1 sachet de levure
- 3 pommes

Bien battre les oeufs et le sucre jusqu'à blanchiement du mélange.
Ajouter le fromage blanc, la farine et la levure.
Eplucher les pommes et les couper en tranches d'épaisseur moyenne.
Verser la moitié de la pâte dans le moule légèrement beurré.
Ranger les pommes par dessus et verser le reste de la pâte.
Recouvrir la pâte avec les amandes effilées.


Placer dans le  four préchauffé à 180° pour 35mn.

Il ne reste plus qu'à déguster tiède ou froid.
Mon petit "plus" et que je ne regrette pas: j'ai saupoudré les pommes de cannelle et de trois cuillères à café de rhum.



 

J'ai dégusté ce gâteau léger puisque ne contenant ni beurre ni huile, mais moelleux grâce aux pommes, avec un verre d'un des mes vins préférés, le Fiumicicoli, un vin du Sartenais.   




samedi 4 mai 2013

Préparer le viaduc - Photo de la semaine 53


La semaine prochaine, le calendrier va nous offrir plusieurs jours de repos grâce au 8 Mai et à l'Ascension. N'ayant prévu aucune sortie particulière  pour ces quelques jours, j'ai investi  dans des magazines qui vont me permettre de passer agréablement ce viaduc.

Voilà de quoi satisfaire mon goût pour les voyages (est-ce ma faute si Géo titre précisément sur "Un Voyage au pays du chocolat"?) et la cuisine de printemps

J'ai aussi craqué pour un magazine de loisirs créatifs qui vous explique comment réaliser de jolis vases avec de la pâte rugueuse relief. Il me reste à trouver cette pâte et à me lancer...



Mes magazines seront ma photo de la semaine pour Amartia et ses aminautes.


jeudi 2 mai 2013

Le p'tit air...


 

La chanson qui a tourné dans mon autoradio cette semaine est extraite du dernier CD de Maxime le Forestier. Vous l'avez peut-être entendue car elle a bénéficié d'une large publicité.
C'est vrai que ce n'est qu'un p'tit air mais j'en aime bien les paroles. Si nous laissions chacun derrière nous notre p'tit air, même anonyme, ce ne serait déjà pas si mal!





Il suffit que quelqu'un fredonne
Le pt'it air que j'avais fait pour toi
Et c'est un peu de nous qui sonne
Dans l'au-delà
Il suffit que quelqu'un murmure
Le p'tit air que j'avais fait pour toi
Si c'est un peu de nous qui dure
C'est déjà ça

La mousse a recouvert les lettres
Et déjà la pierre se fend
C'est sûr qu'avoir été vivant
C'est moins que de l'être
On se dissout, on s'évapore
On se répand dans le grand flou
Que peut-il bien rester de nous
Quel fil de nous s'agite encore
S'agite encore

Il suffit que quelqu'un fredonne
Le pt'it air que j'avais fait pour toi...

On laisse des traces ou des séquelles
Des peintures ou des monuments
Les statues tombent forcément
Gravitation universelle
Alors qu'un air qui se faufile
De lèvre en lèvre et qui survit
ça peut nous faire un paradis
Viens, on s'en va danser tranquille
Danser tranquille

Il suffit que quelqu'un fredonne
    Le pt'it air que j'avais fait pour toi...